Marennes est un village rural appartenant à l’ancienne province du Dauphiné. En 1790, lors de la création des départements, il fut rattaché à celui de l’Isère.
Il fait partie du canton de St-Symphorien d’Ozon entre le territoire de la métropole de Lyon d’une part et le département de l’Isère d’autre part.
La qualité du paysage de la commune tient à sa diversité. Contraste entre les champs ondulés entretenus par nos agriculteurs et les massifs boisés qui occupent les pentes et les coteaux.
En toute saison, cette colline des balmes viennoises donne toute sa beauté au village blotti contre elle. Elle attire les cyclistes qui viennent affronter les premières côtes et constitue la récompense des randonneurs qui découvrent, après quelques efforts, un magnifique panorama sur le massif du Pilat, les Monts du Lyonnais, la ville de Lyon et le Mont-Blanc bien visible certains jours.
Notre village, situé entre Vienne et Lyon, cités très peuplées pendant la civilisation romaine, est riche de vestiges gallo-romains qui furent mis à jour lors des fouilles liées au contournement autoroutier de l’Est lyonnais.
Ces découvertes : ferme au lieu-dit «Le Pillon», villa et thermes au lieu-dit «St Fréjus», enrichissent nos connaissances sur l’environnement, l’habitat, les activités, les croyances et les rites funéraires des ancêtres Marennois. Les vestiges et documents y afférant sont exposés au musées de St Romain en Gal et Fourvière.
Le riche passé de Marennes méritait de sortir des «brumes du sommeil». Plus de 150 Marennois passionnés ont eu à cœur de faire découvrir son histoire en rédigeant l’ouvrage « Du côté de Marennes, Lou fil dou tan » paru en 2013, dans la collection Mémoire de vies.